credit photo
De passage à N’Djamena pour présenter sa vision pour l’Organisation Internationale de la Francophonie, la canadienne Michaëlle Jean, candidate au poste de Secrétaire Générale de l’OIF, semble être rassuré du soutien du Président tchadien. « Nous avons évoqué avec le Président de la République du Tchad, Idriss Deby, les questions de la stabilité, de la sécurité et de la paix, condition essentielle pour une stratégie de développement économique pour tout le continent. Le président a validé les atouts de ma candidature et je me réjouie que nous sommes d’avis que les jeunes et les femmes doivent faire partie de cette équation… » a affirmé, d’un air rassuré, l’Ex Gouverneur Générale et Commandante en Chef du Canada, Michaëlle Jean devant un parterre des journalistes tchadiens, le vendredi passé. Cette tournée s’inscrit dans le même esprit que d’autres visites effectuées dans les pays francophones pour défendre sa candidature, qui est officiellement portée par les Gouvernements du Canada, du Québec, du Nouveau-Brunswick et d’Haïti.
Pourtant, ce qui est impressionnant pour les hommes de média tchadien, c’est la passion avec laquelle, la canadienne Michaëlle Jean parle du Président tchadien. « J’ai eu la chance de courtiser un Président attentif et engagé pour les défis africains. Il m’a beaucoup touché quand il dit que l’Afrique a beaucoup perdu de temps à faire la guerre et qu’il est temps de forger un rêve africain pour les africains.» a souligné Michaëlle. Si, la candidate a tenu tête en expliquant ce qu’elle maitrise le mieux et qui s’avère être le majeur défi de l’OIF (l’équation des femmes et des jeunes), elle a, par ailleurs brossé superficiellement les questions liées à la bonne gouvernance et de l’alternance démocratique dans l’espace francophone. Son penchant pour le combat féministe n’est pas passé inaperçu. « Je suis une femme de conviction et d’action. Je dis toujours que la plus grande école que j’ai connue a été celle des femmes. J’ai beaucoup appris des femmes comme ma grand-mère et ma mère qui ont élevé seules leurs enfants avec un immense courage…impossible d’envisager la francophonie du XXIe siècle sans l’impulsion des femmes… » Ainsi, peut on lire sur les brochures de campagne de la candidate au poste du Secrétaire Général de la Francophonie, remises aux journalistes.
Pourtant, ce qui est impressionnant pour les hommes de média tchadien, c’est la passion avec laquelle, la canadienne Michaëlle Jean parle du Président tchadien. « J’ai eu la chance de courtiser un Président attentif et engagé pour les défis africains. Il m’a beaucoup touché quand il dit que l’Afrique a beaucoup perdu de temps à faire la guerre et qu’il est temps de forger un rêve africain pour les africains.» a souligné Michaëlle. Si, la candidate a tenu tête en expliquant ce qu’elle maitrise le mieux et qui s’avère être le majeur défi de l’OIF (l’équation des femmes et des jeunes), elle a, par ailleurs brossé superficiellement les questions liées à la bonne gouvernance et de l’alternance démocratique dans l’espace francophone. Son penchant pour le combat féministe n’est pas passé inaperçu. « Je suis une femme de conviction et d’action. Je dis toujours que la plus grande école que j’ai connue a été celle des femmes. J’ai beaucoup appris des femmes comme ma grand-mère et ma mère qui ont élevé seules leurs enfants avec un immense courage…impossible d’envisager la francophonie du XXIe siècle sans l’impulsion des femmes… » Ainsi, peut on lire sur les brochures de campagne de la candidate au poste du Secrétaire Général de la Francophonie, remises aux journalistes.